Mi-70, il file à Austin et fait partie du plus mauvais groupe sans nom de la ville … mais qui sera le premier groupe à jouer au légendaire Continental Club. Il devient aussi un habitué du Antone’s Blues Club où il écoute The Fabulous Thunderbirds tous les jeudis.
En pleine vague punk, on le retrouve durant 3 années à New-York. Il fréquente le CBGB et écoute Lou Reed, Richard Hell… Il habite dans « The Lower East Side » et se débrouille comme il peut en conduisant son taxi ou comme serveur.
En 1980, il revend sa basse pour prendre l’avion et découvrir la Provence. Il découvre aussi la cuisine et les saveurs Chez Ernest où il devient même cuisinier tout en montant un duo de blues avec le traiteur historique de Cannes.
De mi-80 à 1999, Jay se consacre entièrement à la musique. On le retrouve avec Yohan Asherton, Les Froggies, Jesse Garon, Jacno, Paris Slim, ou en concert avec Elliot Murphy puis à la tête du Transcontinental Cowboys.
Il retourne à Austin en qualité de tour manager avec Erik Marchand et Donnisulana puis sillonne de nouveau l’amérique du nord avec D’Gary. À Paris, il a co-fondé le disquaire puis le label Cinq Planètes. Ensuite, Jay se consacre à améliorer l’expression en anglais de dirigeants et du personnel d’entreprises tout en redécouvrant Bob Dylan, ses origines d’immigrant irlandais, de nouvelles recettes puis finalement l’envie de jouer.